LETTRE DE JEAN MURAT A TOUS LES FRERES DE LA GLNF
Avec l’autorisation du blog Le Tablier Blanc, nous reproduisons ci-dessous LA LETTRE DE JEAN MURAT A TOUS LES FRERES DE LA GLNF, datée du 18 février 2011.
Socrate
Mes Très Chers et Bien Aimés Frères,
A l’heure où nous devrions être unis, où ceux qui sont favorables à ma candidature prennent le temps et la peine d’expliquer ma position, celle-ci n’a pas déviée depuis mes premières propositions exprimées par mon manifeste du 14 octobre et plusieurs articles. Ceux-ci et moi-même ont pu faire l’objet de propos parfois velléitaires. Oublions fraternellement !
Tout en approuvant et soutenant du mieux possible les actions, explications et motivations de tous les Myosotis en leurs différences, vous savez bien quelles étaient les raisons qui m’avaient amené à ne pas signer le manifeste de gouvernance FMR tout en approuvant ses actions juridiques.
Mais, je n’ai jamais perdu de vue notre but premier, le départ de F. Stifani et, inlassablement, j’ai cherché l’unité qui doit permettre à une équipe élargie et soudée non seulement d’atteindre le but fixé, mais encore une refondation de notre GLNF dans la Règle.
En effet et hors quelques positions de structure, j’ai pu constater que beaucoup des propositions présentées au cours des Assises du 5 février ne différaient pas considérablement de celles que j’ai déjà énoncées et soutenues.
C’est pour cela que je souhaite qu’elles soient versées en contribution au Livre Blanc ainsi que celles que nous avons reçues, que nous recevrons et que nous retransmettrons. C’est aussi pour cela que je pense utile et nécessaire que tous les opposants sans exclusive se rencontrent.
C’est également pour cela que je regrette tout échange de querelles personnelles ou collectives quand nous devons dialoguer, rapprocher nos points de vue, présenter un front uni pour réussir le renouveau de la GLNF et confirmer les souhaits des Frères qui veulent le retour à l’harmonie fraternelle au plus tôt.
Venant de prendre connaissance des articles des Myosotis Ligérien, de Septimanie et Corse, je suis heureux d’y lire des appels aux « bases traditionnelles », au « dialogue constructif » à ne pas « réinventer ce qui existe déjà mais à le modifier » et à « Retrouver la paix et la Sérénité » qui propose de revenir aux statuts de 1986.
Dans mes « Positions », il était indiqué que je souhaitais, avant la formation d’une Assemblée Constituante, revenir immédiatement à l’application des statuts ante 1997 pour exclure les modifications sauvages et déviantes ; dans un dialogue constructif, je ne suis pas opposé bien au contraire à l’application de ceux de 1986.
Sincèrement et Fraternellement,
Jean Murat