QUELLES ATTITUDES ?
Notre ligne a toujours été de suivre la FMR, qui comme vous avez déjà pu nous lire, représente le seul moyen actuel de se rassembler, de se compter et d’agir selon une stratégie commune.
Or il semble se dégager à la lecture de commentaires ici ou là ainsi que de rumeurs ou de différentes formes de communication, des approches différentes d’action pour un même but :
La refondation de la GLNF.
1/ L’agitprop (pour ceux qui se rappellent la dialectique trotsko-maoïste) : dénoncer tout et tous, en faire des éléments de résistance puis les amalgamer dans une réaction « Contre » pour être contre, critiquer et provoquer. Créer des points de friction sans vraiment proposer.
Ceci nous paraît dangereux et parfois diviseur.
2/ La contribution Maçonnique : textes, lectures, contributions morales et éthiques, points de vue de Maçons, lettres d’Apprentis, de Maîtres, de VM, …
Ceci nous parait important car cela représente une expression enfin libre, un échange entre Frères éloignés géographiquement mais proches spirituellement et intellectuellement, se reconnaissant et se déterminant pour la refondation.
3/ La résistance méfiante : « il se passe des choses, patience, nous travaillons pour vous » , attendre fin 2010 (et puis ...!), ne pas participer à l’AG du 25 mars …, ne pas désespérer Billancourt…
Ceci nous parait bien attentiste. Le soufflé peut retomber, et c’est bien là le but de la nouvelle stratégie de communication de Pisan.
D’autre part, cela peut laisser penser à un nouvel élitisme.
Cela peut aussi favoriser l’entrisme.
Et de plus, nous voulons travailler pour nous.
4/ La résistance active : Aller à l’AG, observer, voter non si les conditions le permettent. Réfléchir, proposer et participer à la suite à donner avec l’apport de tous et suivre la FMR (y adhérer et faire adhérer) tant qu’elle rassemble l’ensemble des FF, conjugue les idées et suggère (fortement) les actions.
Ceci nous parait être la bonne attitude car malgré tout, le temps presse. Beaucoup de nos FF se détermineront fin mai. Si nous avons pu créer un élan et avoir un avantage, alors allons-y !
Cela nous parait aussi la bonne attitude car, répétons le, le but de la nouvelle communication de Pisan cherche à gagner du temps, à diluer et à diviser en s’attaquant à cette résistance active.
Socrate